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Le réseau LoRa (Long Range, en anglais) est une technologie de communication radio bas débit et longue portée, utilisée pour les solutions IoT (Internet des objets). Ce réseau permet aux objets connectés de transmettre des données.

Le saviez-vous ? L’air intérieur de votre logement est plus pollué que l’air extérieur. En effet, parmi les polluants les plus communs, on y retrouve les Composés Organiques Volatils (COV), le Dioxyde de Carbone (CO2), le Formaldéhyde (HCHO), le Monoxyde de Carbone (CO) et les Particules Fines (PM).

Que sont les COV ? Quels sont les impacts sur la santé ? D’où viennent-ils ? Comment les détecter ? On répond à ces questions pour vous !

Le monoxyde de carbone, appelé également « CO », est un gaz qui peut se révéler mortel pour les êtres humains. En raison de ses propriétés invisible, incolore et inodore, il est souvent appelé le “tueur silencieux”. Le monoxyde de carbone est un polluant à ne pas négliger : il est important de comprendre ses effets toxiques sur la santé de l’Homme.

Nous passons près de 80% de notre temps en espace clos : que ce soit dans les logements, les lieux de travail, les espaces de loisirs, les écoles, etc. Il est donc très important d’optimiser l’aération de ces espaces, afin de limiter la pollution de l’air intérieure générée par certains gaz. Détecter le monoxyde de carbone (CO) s’avère utile. En effet, l’inhalation de ce gaz déclenche des maux de tête, de la fatigue, des nausées, et peut même s’avérer mortelle.

Depuis la COVID-19, un élément crucial a émergé : notre prise de conscience accrue de l’importance d’améliorer sa QAI. Alors que nous luttons pour contenir la propagation du virus, il est devenu impératif de créer des espaces intérieurs sûrs et sains. Ces éléments nous ont permis de repenser la manière dont nous considérons nos environnements intérieurs, stimulant des innovations et des ajustements pour garantir que l’air que nous respirons soit propre et sain.

Détecter le CO2 est essentiel pour prévenir les risques liés à ce gaz dangereux. Il est présent dans divers environnements et peut être émis par différentes sources. Des niveaux trop importants de CO2 dans l’air peuvent devenir critiques pour la santé. C’est pourquoi l’installation de détecteurs de CO2 est fortement recommandée, en particulier dans les établissements recevant du public et les lieux de travail.

Le dioxyde de carbone (CO2) est présent dans tous les environnements autour de nous. Pour faire face à ce polluant dans les espaces clos, des dispositifs de détection existent. Depuis le COVID-19, ce sujet est de plus en plus évoqué. Un indice de confinement appelé « ICONE » a été créé afin d’exécuter les stratégies de renouvellement d’air adéquat en fonction de l’intensité de l’indice.

Retrouvez dans cet article un petit rappel sur les bases du CO2, ce qu’est l’indice « ICONE » ainsi que les seuils qui en découlent. Pour conclure, vous retrouverez nos solutions pour faire face au dioxyde de carbone dans une pièce.

La qualité de l’air intérieur (QAI) est un enjeu majeur pour notre santé et notre bien-être. Passant la majeure partie de notre temps à l’intérieur, il est essentiel d’adopter des gestes simples au quotidien pour améliorer la qualité de l’air que nous respirons. Dans cet article, nous explorerons différentes façons de contribuer à une meilleure QAI en mettant l’accent sur des gestes du quotidien. En adoptant ces mesures, nous pouvons créer des environnements intérieurs plus sains pour nous-mêmes et nos proches. 

La qualité de l’air intérieur (QAI) est un sujet qui suscite de plus en plus d’attention ces dernières années notamment depuis l’épidémie mondiale de la COVID-19 et ses confinements. Alors que de nombreuses personnes pensent que la pollution de l’air est un problème qui se limite aux environnements extérieurs, il est désormais évident que la pollution de l’air à l’intérieur des bâtiments peut avoir un impact significatif sur la santé humaine. Ce parallèle a été fait dès les années 1970, avec l’apparition du syndrome des bâtiments malsains. Le sujet n’est donc pas nouveau.

La sobriété énergétique est le fait de réduire ses dépenses énergétiques en ajustant les usages aux besoins. En octobre 2022, le gouvernement français a rédigé 15 mesures phrases à appliquer pour diminuer l’utilisation des énergies. Les entreprises, les ménages ou encore les collectivités territoriales sont ainsi concernées. Ces mesures sont regroupées en quatre thèmes différents : la lutte contre le gaspillage d’électricité, l’efficacité énergétique, la mobilisation durable ou encore la sensibilisation à l’environnement en entreprise. Une approche globale est nécessaire pour garantir la réussite de ces initiatives et assurer un avenir énergétique durable pour tous.

D’ici à 2024, l’État s’est donné l’objectif de baisser de 10% la consommation des énergies par rapport à 2021.

Avec l’accélération du changement climatique et les crises énergétiques mondiales à répétition, la sobriété énergétique est désormais une priorité essentielle. En Europe, les pays se préparent à faire face à une hausse des prix de l’énergie, voire à des pénuries dans les années ou les mois à venir. Face à cette situation, quelques mesures sont déjà mises en place : plafonnement des prix de l’électricité et du gaz, taxation des bénéfices excessifs et réduction de la demande en énergie.

Depuis 1900, la population a été multipliée par 4 et le seuil des 8 milliards d’êtres humains a été atteint. Dans le même temps, notre consommation d’énergie a été multipliée par 20 ! Le problème dans tout ceci, c’est que les besoins en énergie de l’humanité sont composés à 80% d’énergies fossiles polluantes qui impactent directement le réchauffement de la planète. Dans un tel contexte, il est vital de se consacrer aux enjeux énergétiques de demain.